Depuis l’assassinat crapuleux du jeune enseignant chercheur guinéen Mamoudou Barry à Rouen en France, le 19 juillet dernier par un franco-turc âgé de 29 ans, les émotions, l’indignation et l’exaspération se lisent sur le visage des guinéens.
Après le rapatriement du corps le 03 août à Conakry suivi d’un hommage rendu à l’Université Général Lanasana de Sonfonia le dimanche par les amis du défunt et les autorités guinéennes, la dépouille mortelle est arrivée ce lundi 5 à Bolaroya dans Mamou son village natal où les funérailles de Mamoudou Barry se tiennent.
Ministres, amis de promotion, connaissances, enseignants et parents accompagnent, le jeune de 31 ans docteur en fiscalité minière à sa dernière demeure. L’enterrement a eu lieu après la prière de 14 heures en présence de toutes les délégations, venues de Conakry, de la France, des érudits, autorités locales et citoyens des villes environnantes de la capitale régionale.
Paix à l’âme de l’illustre disparu. Amen
Mariam Keita pour afriquevision.info
